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Le nouveau budget prévisionnel.Mars 2004 nous avions estimé que la restauration de la coque seule coûterait 88 000 €uros. Nous avons fini (septembre) le squelette du bateau et le bordage de la coque est en cours. Cependant, cette coque n'est pas terminée et notre estimation est dépassée. En effet, à partir d'avril l'inflation s'est faite de plus en plus importante dans le pays, sans que le taux de change, fixé arbitrairement, la rattrape. Le prix du bois a plus que doublé, celui des métaux triplé, et les salaires ont été réajustés au 1er août. Un nouveau budget prévisionnel portant sur le reste des travaux a donc dû être établi (mi-septembre). Plus complet que l'ancien, il intègre cette fois toute la restauration, coque et réaménagement intérieur. 1/ Pour remettre Karrek Ven à l'eau : 90 000 €uros sont encore nécessaires, en plus des 90 000 déjà dépensés à ce jour pour la structure du bateau. Qu'on se rassure, cela ne veut pas dire que la moitié seulement des travaux est faite (90 avant, 90 maintenant). Mais ces nouveaux 90 reflètent l'inflation, comprennent la suite et fin du bordé de coque, le pont, le bastingage, et des éléments jusque là mis de côté mais à prendre en compte maintenant car ils seront nécessaires pour naviguer, même sommairement : plancher intérieur, circuits d'eau, gazole et d'électricité, etc. 2/ Une fois Karrek Ven à l'eau, il faudra 46 000 ¤uros pour couvrir les frais de réaménagement intérieur et de rééquipement C'est assez peu, mais cela est dû au fait que voiles, cordages, moteur principal, instruments de navigation, sont en bon état. Il n'y a pas à en changer. |
Intéressant : ce travail s'effectue
dans des conditions de chantier assez proches de celles qui ont présidé
à la naissance de Karrek Ven en Bretagne en 1941/1943. Voir chaque semaine l'état des dons et dépenses dans
le
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Pour financer ce projet, nous avons lancé le Karrekvenéthon.A la mi-septembre 2004, il avait apporté 73 000 €,
grâce surtout à une cinquantaine d'amis et d'anciens
du bateau ou leur famille. Mais les frais ont aujourd'hui dépassé les dons, et les dépenses se poursuivent. Il est devenu impératif et urgent que de nouveaux dons arrivent et que l'on trouve un mécène ou un parrain qui aide à faire face aux plus grosses dépenses. Le jeu en vaut la chandelle : - Le plus gros et le plus long est fait, ce bel élément du patrimoine maritime est en passe d'être sauvé. Sauvée aussi la mémoire de la technique de sa construction, grâce à des notes, mesures, photos réalisées tout au long des travaux, et le plus souvent aussi, par une réfection "à l'identique". - Des ouvriers, des apprentis ici auront appris le travail. Ils vont pouvoir poursuivre avec d'autres restaurations. - La future utilisation du bateau mérite d'être rendue possible. Ce vieux gréement bien vivant doit continuer à faire rêver et entraîner son équipage à s'affronter à la nature |
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Aussi, quand vous le pouvez, faites (ou
refaites) un don. Un mécène !Il y a sûrement un mécène prêt à aider Karrek Ven. Vous le connaissez peut-être sans y penser. Vous ne voyez pas... ? Gardez cela dans un coin de votre tête, ça va revenir. Un parrain !Vous connaissez sûrement quelqu'un pouvant introduire avec succès notre recherche de financement par une entreprise, une institution, une fondation, une commune, une région, auprès des instances européennes. |
Un retour de services est possible :- En échange de sa participation,une entreprise pourra organiser
gratuitement à bord un séminaire. |
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Ajoutons que le Karrek Ven va participer au CONCOURS NATIONAL MARINS
ET MARINIERS DES COTES ET FLEUVES DE FRANCE organisé par
la Revue d'Ethnologie Maritime Le Chasse-Marée, par le Quotidien
Ouest-France, par Le Marin, par le Ministère de la culture. Aidez le Karrek à retrouver la mer ! |