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Ils sont de deux ordres, financier et humain.
Financièrement, les participants doivent
se débrouiller pour gagner une partie au moins
de leurs frais de séjour, actuellement de 550
euros par mois. Une autre partie peut leur venir, pour
les jeunes gens surtout, de bourses d’état,
bourses de fondations, ou de parrainages divers.
L’apport mensuel actuellement demandé ne
couvre que l’entretien des équipiers et
les frais courants du bord. C’est insuffisant
pour le bateau, qui ne peut fonctionner que si, par
ailleurs, ces équipiers assument également
par leur travail l’entretien du matériel,
des équipements.
Les ressortissants des pays au niveau économique
plus bas devront recevoir des aides plus importantes
de l’état ou de fondations.
La compétence est à prendre en considération.
Ainsi, au-delà de six mois de séjour,
la participation financière peut être réduite.
De même, dès son arrivée, un spécialiste
d’une discipline indispensable à bord ou
en caravane peut être pris en charge par le groupe.
Nous ne cherchons pas à « faire de l’argent
», mais à pouvoir vivre et fonctionner.
La vente de reportages dans les médias permettra
de couvrir les gros frais, de renouvellement et amortissement
du matériel, d’assurances, de dédommagements
de permanents, etc.
Les besoins humains sont ceux que nécessitent
les expéditions en mer, à terre, sur les
rivières, ainsi que l’animation de la base
à terre. Karrek Ven ne peut guère accueillir
plus d’une douzaine de personnes, mais avec les
extensions sur d’autres voiliers, dans les expéditions
à terre, sur la base, le groupe total peut être
beaucoup plus important.
Dans l’immédiat, un second à bord
est requis sur Karrek Ven, qui entre autres, puisse
aider à terminer et faire terminer l’aménagement
intérieur, la remise en route de tout l’équipement,
puis qui veille à son entretien ultérieur.
Quelqu’un , donc, avec des connaissances dans
les domaines techniques (mécanique en particulier),
et un intérêt pour cela, pour maintenir
bien en état les quelques machines du bord. Quelqu’un
qui puisse également guider l’équipage
dans l’entretien extérieur du bateau lui-même,
gréement, voiles, bois, ferrures, peintures.
Il peut ne pas savoir faire tout cela au début
mais doit avoir une tournure d’esprit qui lui
permette d’apprendre vite.
Il faut aussi quelqu’un pour lancer une première
expédition à terre.
Il faut encore une personne au moins, à terre,
pour les questions de secrétariat, trésorerie,
liaisons avec les candidats, les médias, des
organismes divers, etc. Cela peut se faire depuis chez
soi et/ou sur la base, qu’il conviendra d’animer.
Et, bien sûr, il faut des candidats à
l’aventure...
Qu’ils se manifestent !
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